A chaque rassemblement ânier où participe Randoline en Terre de Bretagne trône ce panneau sur lequel se lisent les mots du rude parler breton.
Pas facile à traduire car la Bretagne n’était pas une terre d’ânes, mais plutôt un pays de chevaux.
Et une récompense est offerte à qui en découvre le sens. Jusque là seule une jeune fille fréquentant une école Diwan a découvert la traduction correcte en français.
En breton eun prenn-bas, c’est un bât. Daou prennoù-bas, ce sont deux bâts.
Tad-kozh c’est le grand-père. Tadoù-kozh ce sont les grands-pères.
Prennoù-bas an tadoù-kozh signifie donc « Les bâts de nos grand-pères » ou encore par extension « Les bâts de nos ancêtres ».